Les chercheurs suggèrent que l’huile Calanus^® stimule davantage l’activité métabolique du foie, du cœur et des muscles squelettiques, ce qui entraîne un drainage des graisses des tissus adipeux blancs. L’hypothèse est basée sur les résultats d’un nouvel essai préclinique montrant un impact positif sur le microbiote intestinal chez les souris qui ont reçu un supplément d’huile Calanus^®.

Une nouvelle étude pré-clinique conduite par l’UIT Université Arctique de Norvège, démontre que l’apport du complément d’huile de Calanus® sur des souris obèses prévient des changements négatifs du microbiote. Cela a conduit à de nouvelles théories sur les mécanismes d’action de l’huile Calanus^®.

Les preuves actuelles suggèrent que l’obésité et ses répercusions sont intrinsèquement liées à des changements défavorables du microbiome intestinal. Ainsi, conformément à son effet anti-obésité, l’absorption régulière de notre huile Calanus^® devrait contrecarrer les modifications du microbiote intestinal liées à l’obésité. Le modèle murin de l’obésité induite par le régime alimentaire, partage de nombreuses caractéristiques avec l’obésité humaine et est utilisé comme un outil important pour comprendre les mécanismes impliqués dans les maladies liées au « régime occidental ».

« Le fait que la supplémentation en huile Calanus^® montre un avantage pour le microbiote intestinal étend la liste des avantages que nous avons documentés sur l’huile. Et plus intéressant encore, ces résultats ont fourni davantage d’idées sur les mécanismes d’action de l’huile Calanus^®« , déclare Alice Marie Pedersen, PhD, responsable scientifique chez Calanus.

Les chercheurs s’attendaient à voir des niveaux plus élevés de la famille des récepteurs PPAR (récepteurs activés par les proliférateurs de peroxisomes) dans le tissu adipeux. Les PPAR sont impliqués, entre autres, dans l’oxydation des graisses, mais les niveaux n’ont pas été modifiés dans le tissu adipeux. Cette observation a conduit à l’hypothèse que les PPAR étaient régulés à la hausse principalement dans les tissus métaboliquement actifs, tels que le foie, le cœur et les muscles squelettiques, entraînant une oxydation accrue des acides gras et donc un drainage des acides gras du tissu adipeux blanc.

« En effet, nous disposons de plus en plus de données provenant d’études précliniques et cliniques montrant que plusieurs des bienfaits de l’huile Calanus^® sont associés à des effets positifs sur les muscles », conclut le Dr Pedersen.